A propos de nous
Ensemble agissons !
Même si l'adhésion au RGAQ est gratuite, vous devez quand même vérifier si les objectifs de ce mouvement correspondent vraiment à vos motivations personnelles. Si vous faites partie des citoyens "bien-pensants", qui ont à cœur d'améliorer la qualité de la vie au Québec, vous ne pouvez pas vous contenter de rester passifs et isolés. Vous comprenez que le seul moyen d'obtenir l'écoute de ceux qui nous gouvernent, c'est d'unir votre voix à celle d'autres citoyens qui pensent comme vous. C'est seulement grâce à la force que constitue une union bien organisée de citoyens que vous pourrez obtenir des résultats significatifs. Nous espérons donc que le texte de présentation ci-après saura vous intéresser.
Présentation :
"Diviser pour régner", tel est conseil que Nicolas Machiavel a donné à tous les hommes d'état de l'Europe dans son livre "Le Prince" publié en 1532.
Le concept n'était pas nouveau, car les dirigeants de l'époque l'utilisaient déjà, plus ou moins consciemment. Mais Machiavel a eu le mérite de le définir en termes précis et de le promouvoir en tant que système pour que ces dirigeants puissent se maintenir au pouvoir. Aujourd'hui, les élites mondialistes en ont fait leur principe de base afin de contrôler les masses.
Le problème, c'est que la population en général ne peut pas s'imaginer que sa classe dirigeante puisse aller jusqu'à créer des dissensions entre les citoyens afin de mieux les contrôler. Pourtant, c'est un fait indéniable. Par exemple, ce ne fut pas par hasard qu'on a appelé "complotistes" tous ceux qui osaient mettre en doute le narratif officiel. Ce terme avait été savamment choisi par des spécialistes à cause de son caractère péjoratif. Voir Wikipédia à ce sujet. On savait qu'il avait le potentiel de diviser la population en 2 groupes émotivement opposés, à savoir ceux qui acceptent le narratif officiel sans se poser de questions, qu'on appellerait les "citoyens normaux", et ceux qui adhèrent aux théories du complot, qu'on appellerait les "faiseurs de troubles", les "débiles mentaux" ou même les "édentés".
Le terme "complotiste" n'avait donc rien de banal : il a réussi à créer des disputes et même des divorces au sein de la population, du moins au plus fort de la crise "covid". Ce qu'il faut comprendre ici, c'est qu'on ne s'est pas contenté de créer des débats au sujet d'opinions controversées. À vrai dire, ce fut plutôt le contraire : on a empêché que des débats aient lieu, en remplaçant la raison par le mépris, voire la haine et la condamnation. "Coupez vos liens avec vos parents, s'ils n'acceptent pas de se faire vacciner" : voilà ce qu'on a conseillé aux Québécois, en dépit du fait que pour les Québécois, rien n'est plus sacré que les liens familiaux. Jamais les Québécois n'avaient été soumis à de telles intimidations, visant à affaiblir leur cohésion sociale. Le test ayant été concluant, on sait dorénavant comment contrôler la majorité des Québécois. La peur restera l'ultime moyen pour contrôler les masses.
Aujourd'hui, la crise étant passée (?), le terme "complotiste" a perdu un peu de son arrogance, mais son caractère clivant n'en demeure pas moins présent de façon plus subtile. Par exemple, lorsqu'on rencontre des gens pour la première fois, on continue de se méfier de l'opinion qu'ils peuvent avoir sur des sujets controversés. La transparence n'est plus naturelle, comme c'était le cas autrefois, car elle peut avoir un effet négatif sur la qualité ou la durée de la relation. Or, notre mouvement vise justement à mettre fin à cette méfiance qui continue de désunir les Québécois. Il est temps qu'on évite les préjugés et qu'on se sente à l'aise quand on se rencontre entre Québécois. N'êtes-vous pas d'accord ?
Il faut surtout empêcher que des dissensions toxiques détruisent les valeurs qui constituent les fondements de notre société et, en particulier, les valeurs familiales. D'ailleurs, quand des parents québécois discutent de l'éducation de leurs enfants avec d'autres parents québécois, un nouveau sujet risque maintenant de les interpeler et même de les opposer. Il s'agit du fait que, suite aux recommandations de l'OMS, notre Ministère de l'Éducation oblige maintenant les Commissions scolaires à enseigner la sexualité aux enfants en bas-âge. Des parents consciencieux ne peuvent pas accepter qu'à leur insu, on ait changé le programme scolaire de façon à y inclure des enseignements qui peuvent nuire au développement psychologique de leurs enfants. L'enjeu est donc de taille, car il ne sera pas facile de faire reculer le gouvernement sur cette décision insensée.
Les parents doivent donc se regrouper pour faire entendre leur voix. Sinon, on se moquera d'eux. On a déjà commencé à les menacer de poursuites par la DPJ, s'ils refusent que leurs enfants en bas âge assistent à ces cours controversés. Le mouvement "Regroupaction Québec" (RGAQ) a donc un rôle important à jouer dans cette controverse. À cette fin, nous joindrons nos efforts à ceux d'autres organismes, comme l'EPPNE, qui luttent pour mettre fin à cette aberration gouvernementale. D'ailleurs, nous bénéficions de l'appui des plus grands experts en psychologie infantile, qui ont commencé à dénoncer la perversité des experts de l'OMS.
Enfin, nous savons que les dissensions entre humains sont souvent dues au manque de vraies informations. C'est pourquoi plusieurs organismes professionnels ont été créés dans le but de ré-informer les Québécois. Ces organismes portent déjà leurs fruits et l'on considère que les citoyens sont de plus en plus "éveillés". De plus, ceux qui ont compris comment il est possible de mieux s'informer ne reviennent plus en arrière. Bravo ! L'espoir luit à nouveau au Québec …
Toutefois, ces nouveaux citoyens "éveillés" sont répartis un peu partout dans la Province de Québec et ne se connaissent pas nécessairement entre eux. Ils ont beau signer des pétitions ou se réunir dans des rallyes, ils savent bien que le gouvernement ne tiendra pas compte de leurs revendications. Tant qu'ils resteront isolés, ils n'auront aucune chance d'influer sur les décisions que prendra le gouvernement pour améliorer la qualité de vie des Québécois. On le répète très souvent : seule l'union fait la force, à condition qu'elle soit bien organisée.
Vous avez compris maintenant pourquoi nous avons décidé de créer un mouvement pour regrouper ou rassembler les citoyens qui ont des idées communes en matière de politique sociétale. Vu la dégradation de la qualité de vie au sein de notre société – l'augmentation des sans-abris n'en étant que le symptôme le plus évident – il est devenu urgent de rassembler des citoyens qui aiment le Québec, afin que leurs actions obtiennent des résultats concrets.
Notez qu'en principe, le RGAQ n'est qu'un mouvement culturel et social. Nous n'appuyons d'avance aucun parti politique existant. Cependant, rien ne nous empêche de faire connaître nos revendications au parti politique au pouvoir. À prime abord, ce gouvernement ne nous écoutera pas comme d'habitude. Mais, si le nombre de nos adhérents grandit et que nous sommes de mieux en mieux organisés, il aura tout intérêt à prendre en compte nos revendications. En tout cas, en tant que membres du RGAQ, nous saurons pour qui voter aux prochaines élections, qui auront lieu très bientôt, soit le 5 octobre 2026 …
Notre succès en tant que mouvement dépend donc de l'efficacité de notre organisation. Tout d'abord, tout citoyen québécois pourra en devenir membre gratuitement, à condition de correspondre à certains critères de base visant à déterminer la pertinence de son adhésion au mouvement. Un babillard sur internet sera mis à la disposition des membres pour leur permettre d'exprimer leurs opinions ou commentaires sans aucune censure, sauf s'il s'agit de propos haineux ou irrespectueux. Notez que les auteurs de ces opinions ou commentaires seront identifiés par leur nom véritable et non pas par un pseudonyme équivalant à de l'anonymat. Nous tenons à ce que chaque intervenant dans ce babillard assume la responsabilité de ses propos, tout en bénéficiant de l'appréciation qui peut en résulter. Toutefois, par souci de sécurité, le RGAQ ne rendra pas publics les nos de téléphone et l'adresse résidentielle des membres ou des intervenants dans ce babillard. Les membres, qui voudront sympathiser ou s'entraider par le moyen de ce babillard, pourront cependant utiliser les adresses de courriel, qui seront disponibles, pour communiquer entre eux.
